Par jajalaf
Rose et Hélia, une histoire d'amour!
Voici une histoire que j'ai écrite, laisser vos commentaires!
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J'avais été accepté à la prestigieuse écurie de compétition de Golden Horse.J'étais arrivé hier dans la soirée. On m'avais attribué un cheval en demi-pension, Étoile. Ce matin, je voulais explorer les lieux. Je ne connaissais pas très bien l’écurie et je voulais pouvoir m’y retrouver facilement. Cet après-midi, j’avais mon premier cours donc je voulais prendre mon avant-midi pour explorer. J’entrai dans l’écurie vers huit heures. Je saluai Étoile en lui donnant un baiser sur le front et en la caressant. Au bout de l’aller se trouvait la sellerie. Elle était assez grande et chaque cavalier avait un casier où il pouvait mettre sa selle, sa bride et toutes ses autres affaires. J’avais moi-même mon propre casier où j’avais ma selle, ma bride, mes protège boulets et tous les autres protections pour le cheval, mes protections de transport, un licou et une longe. Bref, tout ce dont j’avais besoin. Il y avait aussi les selles de l’écurie pour ceux qui n’en avaient pas. Sur les murs, il y avait des affiches avec des cavaliers célèbres de Golden Horse. Je sortis de la sellerie puis je me dirigeai vers une porte assez grande dans le milieu de l’allée. Je l’ouvris et je me rendis compte que c’était le manège intérieur. Il y avait quelqu’un qui s’entraînait. Je refermai la porte doucement pour ne pas affoler le cheval. Je retournai dans l’allée puis je me rendis compte qu’il y en avait une deuxième. Il y avait six chevaux dans cette allée. Je vis une affiche écrite à vendre. C’était forcément les chevaux à vendre. Je marchai le long de l’aller puis je m’arrêtai devant une grande jument noire. Elle était magnifique. Elle avait une allure splendide! Je tendis ma main pour la flatter, mais elle essaya de me morde. Ça ne m’empêcha pas de penser que c’était la plus belle jument que je n’avais jamais vue! Je lui parlai doucement pour la rassurer. Elle semblait tendue. Je continuai à murmurer des mots doucement et peu à peu elle sembla se détendre. Quand elle sembla calmée, je réessayai de la flatter. J’avançai mes mains tranquillement et je lui fis sentir. Puis, je réussis à lui flatter le chanfrein. Elle semblait m’avoir accepté. Sans réfléchir, j’allai chercher ma boite de brosse dans la sellerie et je revins la voir. J’ouvris tranquillement la porte de son box. Je l’attachai puis je commençai à la brosser avec l’étrille. Elle était plus tendue qu’Étoile. Je lui fis des massages que j’avais appris pour détendre les chevaux. Ça semblant fonctionnement et elle se calma. En allant prendre la brosse dure, je me rendis compte que je ne savais même pas son nom. Je regardai sur la porte de son box, il était écrit : « Helia du Plessis, jument, 5ans, selle français, 176 cm. *Helia, quel beau nom,* pensais-je. J’avais toujours rêvé d’avoir un cheval et cette Helia était la jument parfaite. Malheureusement, je n’étais pas autorisé à avoir un cheval. De toute façon, je n’avais pas l’argent! Je pris la brosse dure dans ma boite de brosse et je rentrai dans le box d’Helia. Je finis dans la brossée. J’avais trouvé sa robe noire magnifique, mais brossée, elle est tout simplement splendide! Je quittai son box à regret. J’aurais tellement voulu la montée, mais malheureusement ça m’était impossible.
...
Bip Bip Bip! C’était mon réveille-matin qui sonnait. Il était minuit. Je l’avais programmé à cette heure-là, car je planifier de monté Helia en cachette cette nuit! Je me levai sans faire de bruit. J’enfilai ma culotte d’équitation et un polo rouge. Je ramassai mon casque puis je sortis de ma chambre sans faire de bruit.
J’arrivai devant l’écurie quelques minutes plus tard. J’ouvris tranquillement la porte pour vérifier s’il y avait quelqu’un. Il n’y avait personne. J’ouvris la porte assez grande pour que je puisse entrer puis je la refermai derrière moi. J’allai chercher ma selle et ma bride dans la sellerie. C’était une bride neuve que j’avais achetée pour Étoile, mais elle en avait déjà une donc je ne m’en étais jamais servie. Je ne planifiais pas de brosser Helia, car je voulais avoir le maximum de temps pour la montée. De toute façon, je l’avais déjà brossé ce matin. Je voulais aussi travailler uniquement sur le plat, car j’en savais déjà assez sur Helia pour savoir qu’elle n’était très facile à monter, moins qu’Étoile en tout cas. En arrivant à la porte de son box, je déposai ma selle et ma bride puis je rassurai Helia en lui parlant doucement. Je lui laissai me sentir puis je lui caressai les naseaux. Elle semblait apprécier que je la caresse, mais elle semblait tendue tout de même. J’ouvris doucement la porte de son box, je pris son licou et quand j’essayai de lui mettre, elle essaya de me morde. Je réessayai en bougeant plus tranquillement et en lui disant des paroles rassurantes. Je réussis à lui mettre cette fois-ci. Je lui massai un peu le dos avant de lui mettre la selle. Je pris celle-ci par terre puis je la déposai tranquillement sur son dos. Dès qu’elle toucha à la jument, celle-ci rua et botta le mur de son box avec ses postérieurs. Je fis un saut et sortis du box en un bond. Je ne me décourageai pas pour autant. Je commençai par faire sentir la selle à Helia qui semblait extrêmement méfiante. En même temps, je lui disais des paroles rassurantes. Je la sentis se calmer un peu. Je rentrai dans son box doucement puis lui flattai doucement le dos où on met la selle. Puis, je pris la selle et je flattai le dos d’Helia avec. Quand elle sembla calme, je déposai la selle très tranquillement. Elle s’agita, mais ne se rua pas comme la dernière fois. J’attachai la sangle en serrant tranquillement pour ne pas l’énerver. Je lui fis sentir la bride puis je la détachai et je lui mis. Elle mordit dans le mort si fort qu’elle aurait pu se casser une dent. Heureusement, ça n’arriva pas. Avant de sortir du box, je regardai ma montre, il était déjà une heure trente. Je devais revenir à l’écurie vers quatre heures pour être sûr de ne pas me faire prendre. Je voulais aller dans le manège intérieur vu qu’il faisait froid la nuit dehors et qu’on ne voyait rien.
En arrivant à la porte du manège, je l’ouvris doucement puis j’allumai les lumières. J’entrai à l’intérieur. Helia me suivait sans broncher. Juste avant de me mettre en selle, je lui dis :
'OK ma belle, tu es prête?'
Je me mis en selle en utilisant un montoir. Helia était extrêmement agité. Je serai les talons pour la faire marcher, mais elle recula quelques pas puis s’arrêta. Je réessayai, mais elle fit de même.
‘Allez Helia marche! ’
Je l’encourageai à marcher, mais elle ne voulait toujours pas avancer. Je démontai puis je lui fis faire un tour de piste un la guida avec les reines. Ensuite, je la remontai puis je ressayai. Je serrai mes talons et en même temps je lui dis :
‘Au pas Helia! ‘
Elle recula de quelques pas puis elle avança. Je fis quelques tours de pistes au pas. Elle semblait se calmer petit à petit. Après une dizaine de tours, je décidai d’essayer d’aller au trot. Je serrai, les talons en disant :
‘Au trot Helia! ’
Elle fit quelques sauts de mouton puis elle partit au grand galop. J’essayai de l’arrêter, mais rien à faire, elle galopait dans le manège, dans tous les sens affolés. J’essayai du mieux que je pouvais à rester en selle. Après cinq minutes, elle s’arrêta brusquement. Je faillis tomber, mais heureusement, je restai en selle. Je la rassurai en la caressant et en lui murmurant des paroles apaisantes. Quand elle fut calmée, je la repartis au pas. Cette fois-ci elle partit sans broncher. Je fis une dizaine de tours et, prenant mon courage à deux mains, je serrai les talons pour la faire partir au trot. Tout en faisant cela, je lui disais d’une voix apaisante.
'Allez ma belle, au trot. Tu es capable! ’
Elle refit des sauts de mouton. Je retins mon souffle pendant quelques secondes, craignant qu’elle reparte au galop, mais, à mon grand soulagement, elle partit au trot. Elle avait un trot mal rythmé, mais après quelques tours elle se replaça et elle était très confortable. J’essayai de faire du trot assis et je réussis sans problème. Je lui fis faire des voltes et du slalom. Au début, elle était très agitée dans le virage, mais elle était plus calme au bout de quelques minutes. Je fis du trot pendant plus d’une demi-heure puis j’essayai partir au galop, mais dès que je lui en donnai l’indication, elle se cabra et malgré ma bonne assiette, je tombai par terre. Helia partit au galop et fit quelques tours en liberté, mais elle s’arrêta et elle vint me voir. Elle se pencha pour être à ma hauteur et je lui flattai les naseaux. On aurait dit qu’elle venait s’excuser. J’essayai de me relever. Je n’avais rien de cassé heureusement. Je remontai en selle. Helia semblait beaucoup moins tendue. Je la fis partir au pas. Je fis quelques tours puis je partis au trot. Elle partit sans broncher. Je refis quelques exercices au trot, mais moins longtemps que la dernière fois puis je ressayai de partir au galop. Helia écouta sans broncher. Je ne m’attends pas à ça! Je fis quelques tours et des voltes au galop puis je m’arrêtai. Je démontai et j’installai une série de quatre pôles avec une distance d’une foulée entre chacun d’eux. Je remontai Helia puis je fis un tour au pas, un au trot et un au galop puis je me dirigeai vers les barres. Elle s’arrêta net devant la première barre et recula les oreilles en arrière. Je décidai alors de démonter. Je pris les rênes et je passai par-dessus la première barre. Helia me suivit, mais elle avait l‘air extrêmement méfiante. Je passai par-dessus la deuxième puis la troisième et la quatrième. Je refis cela plusieurs fois puis je remontai en selle. Je commençai par passer les barres au pas. Helia le fit sans problème. Je le refis deux ou trois fois puis je l‘essayai au trot. Elle les passa aussi sans problème. Je l‘essayai au galop, mais juste avant de passer la première barre, Helia revint au trot et elle les passa au trot. Je ressayai une autre fois en l’encourageant à rester au galop. Cette fois-ci je réussis. Je m’arrêtai et je regardai ma montre, quatre heures. Ça faisait déjà deux heures que je montais. Je devais rentrer si je ne voulais pas me faire prendre. Je démontai, je remontai les étriers puis je sortis du manège en fermant les lumières. Je remmenai Helia dans son box. Je la dessellai puis j’allai porter ma selle et ma bride dans la sellerie. Je n’avais pas le temps de la brosser, mais je me promis de revenir le faire le lendemain matin.
Par Nemoo
Est-ce que tu vas faire la suite bientôt? J'ai hate de voir!
Par jajalaf
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LE 6 MAI 2011
« Réveilles-toi Rose! Allez, debout! » C’était ma mère, mais pourquoi me réveillais-t-elle si tôt. Pourtant, on était samedi et je n’avais rien de prévue à cette heures là! J’ouvris lentement les yeux. Mais je n’étais pas dans ma chambre! Soudain, je me souvins. Aujourd’hui, c’était ma première journée à Golden Horse, une des écuries de concours les plus prestigieuse au monde. Le jour précédent, j’avais pris l’avion des États-Unis jusqu’à Vienne en Autriche où se trouvait l’écurie. J’avais finalement réussis à convaincre mes parents de mis inscrire. Ils disaient que le haras où je me trouvais présentement, le haras des pins, faisait amplement l’affaire mais moi, je ne trouvais. Ce n’était pas une écurie de concours. Les seuls concours organisé là étaient de simple petit concours amicaux. Je m’étais quand même inscrit à d’autres concours et je m’étais rendue jusqu’au provinciaux. Ma monitrice, Sarah Cliche m’avait dit que si je voulais aller plus loin en compétition, je devrais m’inscrire dans une écurie de concours. Connaissant Golden Horse, elle nous l’avait proposé. Elle et moi, nous avons convaincu mes parents. J’avais attendu mon premier jour là-bas avec impatience et maintenant, ça y est! Je me dépêchai à me lever et je regardai mon cadran, six heures trente. J’avais espéré pouvoir arriver là-bas à sept heures. Si je voulais y arrivé je devrais me dépêcher. Je m’habillai en vitesse avec un polo rouge et des jeans. Je ramassai ma valise que j’avais préparée la veille. Elle pesait une tonne. J’engouffrai un bol de céréales puis je m’installai dans l’auto avec ma mère et nous partîmes.
Arrivé à l’écurie, je saluai ma mère et je me dirigeai d’un pas rapide vers l’écurie. Il y avait toutes sur de chevaux. Des petits, des grands, des alezan, des noirs, des isabelle. On m’avait confié une ponette qui s’appelait Étoile. J’en savais pas plus sur elle mais j’espérais qu’on allait bien s’entendre. Soudain, je vis la tête d’une ponette isabelle sortir de son box. Elle était magnifique! C’était la plus belle jument que j’avais jamais vue. Je baissai les yeux pour voir l’enseigne sur la porte de son box. « ÉTOILE ». C’était donc elle Étoile! C’était ma jument! Enfin, celle que j’allais avoir en demi-pension! Je lui caressai le front. Elle avait une jolie petite étoile blanche. Je retournai à la sellerie chercher ma boite de pansage où je l’avais laissé avant de venir à l’écurie.
Quelques minutes plus tard, je revins avec ma boite de pansage à la main. Je le déposai par terre, près du box d’étoile et j’ouvris la porte du box. « Allo Étoile, je m’appelle Rose. Tu m’as été confié en demi-pension. J’espère qu’on va bien s’entendre tous les deux. » Lui dis-je d’une voix rassurante. Elle ne semblait pas tendue du tout. Je lui caressai la tête et l’encolure puis je ressortis du box pour prendre son licou. Je lui mis puis je l’attachai dans son box. Je ramassai l’étrille dans ma boite de pansage puis je commençai à la brossé. Elle semblait apprécier et elle ne bougeait pas d’un poil. Quand j’eus fini avec l’étrille, je pris la brosse dur. Elle ne bougea pas plus et semblait apprécier de plus en plus. Quand je pris la brosse douce, elle se ferma les yeux pour savourer le moment. Par la suite, je peignai sa crinière puis je curai ses sabots. Quand j’eus fini de la pensée, on aurait dit que sa robe brillait. Je regardai ma montre. Il était déjà onze heures. Ça faisait déjà presque deux heures que j’étais avec elle. Je devais aller manger puis j’avais quelques petites choses à régler avec le directeur de l’écurie. Je la quittai à regret. J’avais tellement hâte de la monter. Elle devait être formidable!
À une heure, cet après-midi, je venais de finir de dîner et je me rendis à l’écurie pour retourner voir Étoile. Je passai par la sellerie pour aller chercher ma selle, ma bride et ma boite de brosses. Je comptais la monter cette après-midi. Arrivé à son box, je déposai ma selle et ma boite de brosses par terre et j’accrochai la bride sur un crochet près de la porte du box. Quand j’ouvris la porte du box, Étoile hennit. Elle m’avait reconnue! Pourtant j’étais venue la voir une seule fois avant. Je pris son licou et je l’attachai dans son box pour la brosser. Je ne pris pas autant de temps que ce matin car je l’avais déjà brossé il y avait quelques heures seulement. Comme ce matin Étoile semblant apprécier énormément pendant que je la pansais et elle se tint sage comme une image. Quand j’eus finit de la brosser, je la sellai puis je la bridai. Je pris les rênes dans mes mains puis je guidai Étoile jusqu’à la carrière qui se trouvait à l’arrière de l’écurie. Il y avait un parcours de saut de monté mais je ne comptais pas sauter. J’entrai dans la carrière et Étoile me suivit docilement. Je me mis en selle et je commencer à marcher. Étoile écoutait attentivement à toutes les commandes que je lui demandais. Je fis alors quelques tours de piste au trop. Je fis du trot rassemblé, du trot de travaille et du trot allongé. Étoile faisait tout ce que je lui demandais. Puis, je décidai de faire quelques tours de galop. Elle partit au galop à l’instant même où je le lui demandai. Je fis quelques tours de piste puis je revins au trot. Je fis quelques figures au trot et au galop pour tester Étoile mais elle fit tout parfaitement. Ce n’était pas des figures difficiles car je n’avais pas un très haut niveau en dressage. Après cela, même si je m’étais dit que je ne sauterais pas, ne pouvait résister, je sautai quelques obstacles simples. Étoile sautait gracieusement. Je montai la barre petit à petit et je finis en sautant des obstacles de 75 cm. Avant de finir la séance, je me montai un petit parcours et Étoile le fit sans aucune erreur. Je regardai ma monte, trois heures. Ça faisait déjà une heure et demie que je montais. Je démontai à regret et je ramenai Étoile à l’écurie. Je la brossai et je lui curai les pieds. Ensuite, Je lavai ma bride et ma selle et je les rangeai dans la sellerie. Je dis au revoir à Étoile en lui donnant un bisou sur le front puis je quittai l’écurie.
LE 7 MAI 2011
Ce matin, je voulais explorer les lieux. Je ne connaissais pas très bien l’écurie et je voulais pouvoir m’y retrouver facilement. Cet après-midi, j’avais mon premier cours donc je voulais prendre mon avant-midi pour explorer. J’entrai dans l’écurie vers huit heures. Je saluai Étoile en lui donnant un baiser sur le front et en la caressant. Au bout de l’aller se trouvait la sellerie. Elle était assez grande et chaque cavalier avait un casier où il pouvait mettre sa selle, sa bride et toutes ses autres affaires. J’avais moi-même mon propre casier où j’avais ma selle, ma bride, mes protège boulets et tous les autres protections pour le cheval, mes protections de transport, un licou et une longe. Bref, tout ce dont j’avais besoin. Il y avait aussi les selles de l’écurie pour ceux qui n’en avaient pas. Sur les murs, il y avait des affiches avec des cavaliers célèbres de Golden Horse. Je sortis de la sellerie puis je me dirigeai vers une porte assez grande dans le milieu de l’allée. Je l’ouvris et je me rendis compte que c’était le manège intérieur. Il y avait quelqu’un qui s’entraînait. Je refermai la porte doucement pour ne pas affoler le cheval. Je retournai dans l’allée puis je me rendis compte qu’il y en avait une deuxième. Il y avait six chevaux dans cette allée. Je vis une affiche écrite à vendre. C’était forcément les chevaux à vendre. Je marchai le long de l’aller puis je m’arrêtai devant une grande jument noire. Elle était magnifique. Elle avait une allure splendide! Je tendis ma main pour la flatter, mais elle essaya de me morde. Ça ne m’empêcha pas de penser que c’était la plus belle jument que je n’avais jamais vue! Je lui parlai doucement pour la rassurer. Elle semblait tendue. Je continuai à murmurer des mots doucement et peu à peu elle sembla se détendre. Quand elle sembla calmée, je réessayai de la flatter. J’avançai mes mains tranquillement et je lui fis sentir. Puis, je réussis à lui flatter le chanfrein. Elle semblait m’avoir accepté. Sans réfléchir, j’allai chercher ma boite de brosse dans la sellerie et je revins la voir. J’ouvris tranquillement la porte de son box. Je l’attachai puis je commençai à la brosser avec l’étrille. Elle était plus tendue qu’Étoile. Je lui fis des massages que j’avais appris pour détendre les chevaux. Ça semblant fonctionnement et elle se calma. En allant prendre la brosse dure, je me rendis compte que je ne savais même pas son nom. Je regardai sur la porte de son box, il était écrit : « Helia du Plessis, jument, 5ans, selle français, 176 cm. *Helia, quel beau nom,* pensais-je. J’avais toujours rêvé d’avoir un cheval et cette Helia était la jument parfaite. Malheureusement, je n’étais pas autorisé à avoir un cheval. De toute façon, je n’avais pas l’argent! Je pris la brosse dure dans ma boite de brosse et je rentrai dans le box d’Helia. Je finis dans la brossée. J’avais trouvé sa robe noire magnifique, mais brossée, elle est tout simplement splendide! Je quittai son box à regret. J’aurais tellement voulu la montée, mais malheureusement ça m’était impossible.
Cet après-midi, j’entrai dans l’écurie vers quatorze heures. Je voulais passer du temps avec Étoile pour apprendre à mieux la connaître. J’entrai dans son box en disant :
« Allo Étoile, tu as l’air en forme »
Elle me répondit par un hennissement. J’avais l’intention de la laver car ça devait faire un moment qu’elle ne l’avait pas été. Je lui mis son licou et sa longe puis je l‘emmena dans la douche. Je commençai par la mouillé partout puis je pris un shampoing et je frottai partout. Puis je la rinçai. Je la séchai avec une serviette puis je la remmenai dans son box. Là, je décidai de lui faire des massages. Je passé ma main e long de sa colonne vertébral en faisant de petit mouvement circulaire. Comme à chaque fois que je m’occupais d’elle, Étoile semblait adorée. Je lui fis plusieurs petits massages et après un quart d’heure, J’arrêtai et je m’assis sur un seau retourné dans un coin de son box. Étoile marcha vers moi puis baissa la tête pour être à ma hauteur. J’allai chercher une carotte puis je lui donnai. Quand elle eut finit de croquer sa carotte, elle me renifla les mains pour en trouver une autre.
« Je n’en ai pas d’autre grosse gourmande! »
Je la caressai pendant un bon bout de temps puis je finis par sortir de son box. En sortant de l’écurie, je passai dans l’allé des chevaux à vendre. En passant devant le box d’Helia, je pris le temps de m’arrêter et de la caresser. Cette fois ci, je n’eus aucun problème, elle n’essaya pas de me mordre comme la dernière fois. Puis, je sortis de l’écurie.
Après avoir passé près de deux heures à bichonné Étoile, j’allai chercher la selle et la bride d’Étoile puis je la sellai et je la bridai. Je sortis dehors et je me dirigeai vers a carrière de saut d’obstacle. J’aurais préféré faire du cross, ma discipline préféré, mais je pensais que je devrais voir les aptitudes d’Étoile au saut avant. Aujourd’hui, je vouais travaillé les foulés et les obstacles serrés. C’est ce avec quoi j’ai le plus de misère. En entrant dans la carrière, je resanglai, j’ajustai les étriers puis je montai. Je commençai par réchauffé Étoile. Je fis un tour de piste au pas en main droite puis je partis au trot. Je fis quelques tours au trot enlevé puis quelques tours au trot assis. Ensuite, je partis au galop. Je fis quelques exercices comme des voltes, des demi-voltes et des diagonales. Par la suite, j’arrêtai Étoile puis je démontai pour m’installa une ligne qui comprenait un obstacle droit et un oxer. J’avais compté que je devrais faire exactement cinq foulées entre les deux obstacles. Je remontai Étoile, je repartie au galop et je me dirigeai vers la ligne. Étoile sauta le premier obstacle facilement. Elle fit six foulées, oups! Une de trop, et elle sauta l’oxer aussi facilement que le droit. Je fis un tour de piste puis je revins sur la ligne. Cette fois ci, Étoile fit quatre foulées. Toujours pas correcte. Je refis un autre tour de piste puis je refis la ligne et, là, elle fit cinq foulées. Je refis cet exercice plusieurs fois et je réussis à faire cinq foulées à chaque fois. Ensuite, je démontai une autre fois et je me montai un petit parcours où il y avait plusieurs obstacles serrés. Je remontai Étoile et j’essayai mon parcours. Le premier coup, je fis tomber quatre barres sur douze. Je le réessayai et je n’en fis tomber que deux. Après plusieurs tentatives, je réussis à faire un sans-faute. J’étais contente car mon parcours était assez difficile même si les obstacles n’étaient pas hauts. Je décidai de les monté. Le plus haut faisait maintenant un mètre. À la dernière tentative, après environ une demi-heure, je réussis à faire un autre sans-faute. Avant de démonter, Je caressai Étoile pour la féliciter en lui disant :
« Bravo Étoile! Tu as bien travaillé! »
Elle avait vraiment été super! Je démontai puis je remmenai Étoile dans son box.
Bip Bip Bip! C’était mon réveille-matin qui sonnait. Il était minuit. Je l’avais programmé à cette heure-là, car je planifier de monté Helia en cachette cette nuit! Je me levai sans faire de bruit. J’enfilai ma culotte d’équitation et un polo rouge. Je ramassai mon casque puis je sortis de ma chambre sans faire de bruit.
J’arrivai devant l’écurie quelques minutes plus tard. J’ouvris tranquillement la porte pour vérifier s’il y avait quelqu’un. Il n’y avait personne. J’ouvris la porte assez grande pour que je puisse entrer puis je la refermai derrière moi. J’allai chercher ma selle et ma bride dans la sellerie. C’était une bride neuve que j’avais achetée pour Étoile, mais elle en avait déjà une donc je ne m’en étais jamais servie. Je ne planifiais pas de brosser Helia, car je voulais avoir le maximum de temps pour la montée. De toute façon, je l’avais déjà brossé ce matin. Je voulais aussi travailler uniquement sur le plat, car j’en savais déjà assez sur Helia pour savoir qu’elle n’était très facile à monter, moins qu’Étoile en tout cas. En arrivant à la porte de son box, je déposai ma selle et ma bride puis je rassurai Helia en lui parlant doucement. Je lui laissai me sentir puis je lui caressai les naseaux. Elle semblait apprécier que je la caresse, mais elle semblait tendue tout de même. J’ouvris doucement la porte de son box, je pris son licou et quand j’essayai de lui mettre, elle essaya de me morde. Je réessayai en bougeant plus tranquillement et en lui disant des paroles rassurantes. Je réussis à lui mettre cette fois-ci. Je lui massai un peu le dos avant de lui mettre la selle. Je pris celle-ci par terre puis je la déposai tranquillement sur son dos. Dès qu’elle toucha à la jument, celle-ci rua et botta le mur de son box avec ses postérieurs. Je fis un saut et sortis du box en un bond. Je ne me décourageai pas pour autant. Je commençai par faire sentir la selle à Helia qui semblait extrêmement méfiante. En même temps, je lui disais des paroles rassurantes. Je la sentis se calmer un peu. Je rentrai dans son box doucement puis lui flattai doucement le dos où on met la selle. Puis, je pris la selle et je flattai le dos d’Helia avec. Quand elle sembla calme, je déposai la selle très tranquillement. Elle s’agita, mais ne se rua pas comme la dernière fois. J’attachai la sangle en serrant tranquillement pour ne pas l’énerver. Je lui fis sentir la bride puis je la détachai et je lui mis. Elle mordit dans le mort si fort qu’elle aurait pu se casser une dent. Heureusement, ça n’arriva pas. Avant de sortir du box, je regardai ma montre, il était déjà une heure trente. Je devais revenir à l’écurie vers quatre heures pour être sûr de ne pas me faire prendre. Je voulais aller dans le manège intérieur vu qu’il faisait froid la nuit dehors et qu’on ne voyait rien.
En arrivant à la porte du manège, je l’ouvris doucement puis j’allumai les lumières. J’entrai à l’intérieur. Helia me suivait sans broncher. Juste avant de me mettre en selle, je lui dis :
« OK ma belle, tu es prête? »
Je me mis en selle en utilisant un montoir. Helia était extrêmement agité. Je serai les talons pour la faire marcher, mais elle recula quelques pas puis s’arrêta. Je réessayai, mais elle fit de même.
« Allez Helia marche! »
Je l’encourageai à marcher, mais elle ne voulait toujours pas avancer. Je démontai puis je lui fis faire un tour de piste un la guida avec les reines. Ensuite, je la remontai puis je ressayai. Je serrai mes talons et en même temps je lui dis :
« Au pas Helia! »
Elle recula de quelques pas puis elle avança. Je fis quelques tours de pistes au pas. Elle semblait se calmer petit à petit. Après une dizaine de tours, je décidai d’essayer d’aller au trot. Je serrai, les talons en disant :
« Au trot Helia! »
Elle fit quelques sauts de mouton puis elle partit au grand galop. J’essayai de l’arrêter, mais rien à faire, elle galopait dans le manège, dans tous les sens affolés. J’essayai du mieux que je pouvais à rester en selle. Après cinq minutes, elle s’arrêta brusquement. Je faillis tomber, mais heureusement, je restai en selle. Je la rassurai en la caressant et en lui murmurant des paroles apaisantes. Quand elle fut calmée, je la repartis au pas. Cette fois-ci elle partit sans broncher. Je fis une dizaine de tours et, prenant mon courage à deux mains, je serrai les talons pour la faire partir au trot. Tout en faisant cela, je lui disais d’une voix apaisante.
« Allez ma belle, au trot. Tu es capable! »
Elle refit des sauts de mouton. Je retins mon souffle pendant quelques secondes, craignant qu’elle reparte au galop, mais, à mon grand soulagement, elle partit au trot. Elle avait un trot mal rythmé, mais après quelques tours elle se replaça et elle était très confortable. J’essayai de faire du trot assis et je réussis sans problème. Je lui fis faire des voltes et du slalom. Au début, elle était très agitée dans le virage, mais elle était plus calme au bout de quelques minutes. Je fis du trot pendant plus d’une demi-heure puis j’essayai partir au galop, mais dès que je lui en donnai l’indication, elle se cabra et malgré ma bonne assiette, je tombai par terre. Helia partit au galop et fit quelques tours en liberté, mais elle s’arrêta et elle vint me voir. Elle se pencha pour être à ma hauteur et je lui flattai les naseaux. On aurait dit qu’elle venait s’excuser. J’essayai de me relever. Je n’avais rien de cassé heureusement. Je remontai en selle. Helia semblait beaucoup moins tendue. Je la fis partir au pas. Je fis quelques tours puis je partis au trot. Elle partit sans broncher. Je refis quelques exercices au trot, mais moins longtemps que la dernière fois puis je ressayai de partir au galop. Helia écouta sans broncher. Je ne m’attends pas à ça! Je fis quelques tours et des voltes au galop puis je m’arrêtai. Je démontai et j’installai une série de quatre pôles avec une distance d’une foulée entre chacun d’eux. Je remontai Helia puis je fis un tour au pas, un au trot et un au galop puis je me dirigeai vers les barres. Elle s’arrêta net devant la première barre et recula les oreilles en arrière. Je décidai alors de démonter. Je pris les rênes et je passai par-dessus la première barre. Helia me suivit, mais elle avait l‘air extrêmement méfiante. Je passai par-dessus la deuxième puis la troisième et la quatrième. Je refis cela plusieurs fois puis je remontai en selle. Je commençai par passer les barres au pas. Helia le fit sans problème. Je le refis deux ou trois fois puis je l‘essayai au trot. Elle les passa aussi sans problème. Je l‘essayai au galop, mais juste avant de passer la première barre, Helia revint au trot et elle les passa au trot. Je ressayai une autre fois en l’encourageant à rester au galop. Cette fois-ci je réussis. Je m’arrêtai et je regardai ma montre, quatre heures. Ça faisait déjà deux heures que je montais. Je devais rentrer si je ne voulais pas me faire prendre. Je démontai, je remontai les étriers puis je sortis du manège en fermant les lumières. Je remmenai Helia dans son box. Je la dessellai puis j’allai porter ma selle et ma bride dans la sellerie. Je n’avais pas le temps de la brosser, mais je me promis de revenir le faire le lendemain matin.
Ce matin, je me réveillai vers onze heures. J’avais passé la nuit réveillé à monter Helia. D’ailleurs, je comptais le refaire la nuit d’après. Bref, je me réveillai vers onze heures, j’enfilai ma culotte d’équitation et un polo Bleu marine et je me dirigeai d’un pas rapide vers l’écurie. Dehors l’air était frais et c’était confortable. Cet après-midi, j’allais monter à l‘extérieur dans la carrière de saut.
J’arrivai à la porte de l’écurie. Je voulais m’occuper d’Étoile mais aussi d’Helia. Je l’avais monté pendant deux heures cette nuit et je n’ai pas eu le temps de a brosser. J’entrai dans l’écurie et je me dirigeai vers e box d’étoile. Elle sortit sa tête par-dessus la porte de son box et elle hennit en me voyant. Je lui caressai les naseaux puis j’allai chercher ma mallette de pansage dans la sellerie. Je revins voir Étoile. J’ouvris doucement la porte de son box puis j’entrai à l’intérieur. Je déposai ma mallette de pansage par terre puis je ramassai l’étrille. Je la passai partout sur Étoile en faisant des mouvements circulaires. Par la suite, je passai à brosse dur et à brosse douce. Je lui curai les sabots et je les graissai. Par la suite je pris le peigne et je lui peignai la crinière et la queue. Étoile ne semblait pas adorée se faire peignait a crinière. Je décidai de lui faire des tresses pour le plaisir. J’allai chercher des petits élastiques dans la sellerie puis je revins dans son box. Ensuite, Je commençai à lui tresser la crinière. Après une vingtaine de minute, j’eus finis. Elle était magnifique avec des tresses. Je décidai alors de lui tresser la queue aussi. Quand j’eus finis, Étoile avait l’air de s’en aller en concours. Elle était vraiment belle! Je restai dans son box encore un moment à la caresser et à lui parler puis je sortis de son box. Je devais aller m’occuper d’Helia.
Après être sortie du box d’Étoile, je ramassai mes brosses puis je me dirigeai vers le box d’Helia qui se trouvait dans l’autre allée, celle des chevaux à vendre. Arrivé à son box. Je déposai ma mallette par terre puis j’abordai Helia en lui disant des paroles rassurantes :
« Allo Helia, j’espère que tu vas bien. As-tu aimé que je te monte la nuit passé? »
Ensuite, je lui caressai les naseaux. Elle semblait adorée ça quand on la caressait. J’ouvris tranquillement la porte de son box, je pris l’étrille et j’entrai à l’intérieur. Je commençai à la brossé. Elle semblait être beaucoup moins tendue qu’hier. Elle semblait même apprécier que je la brosse. Je pris mon temps pour qu’elle puisse apprécier le moment le plus longtemps possible. Je fis de même avec la brosse dure et la brosse douce. Je finis par lui curer les pieds et les peigner sa crinière. Quand j’eus tout fini Helia essaya de sortir de son box. J’essayai de lui en empêcher mais heureusement, elle rentra par elle-même. Elle se tourna vers moi, elle avait la brosse douce dans sa bouche! Elle me donnait quelques coups avec. Elle voulait que je continue à la brossé.
« Mais je viens de tout te brosser Helia! »
Je pris la brosse douce de sa bouche, je l’essuyai puis je la brossai encore un peu avec. Après quelques minutes, je ramassai mes brosses et je sortis du box en refermant la porte derrière moi.
Je revins dans l’écurie après avoir dîner, vers quatorze heures. Je saluai Étoile en passant devant son box et j’allai chercher ma selle et la bride d’Étoile. Aujourd’hui j’aurais voulue faire du cross mais comme je m’étais inscrire à un concours de saut d’obstacle, j’allais m’entraîner au saut. J’arrivai près du box d’Étoile. Comme à l’habitude, elle me salua avec un hennissement. Je ne la brossai pas car je l’avais déjà fait ce matin. Elle avait encore ses tresses. Elles étaient encore aussi belles que ce matin. J’entrai dans son box avec ma selle dans les mains. Je lui mis et, contrairement à Helia, elle ne bougea pas d’un poil. J’attachai la sangle puis je lui mis sa bride. Je l’emmenai jusqu’à la carrière à l’arrière de l’écurie. Il y avait déjà un parcours de monté. Je me dis que j’allai faire celui-là. Ce sera plus simple que d’en monter un autre. J’entrai dans la carrière, je resanglai puis je montai. Je mis mes pieds dans les étriers qui étaient déjà ajusté puis j’incitai Étoile à aller au pas. Je fis un tour puis je serrai les talons pour qu’Étoile parte au trot. Je quelques courbes pour bien la réchauffer puis je partie au galop. Je fis deux tours de pistes puis je me dirigeai vers un petit obstacle simple. Un croisillon d’environ 15 cm. Étoile le sauta avec facilité. Je refis un autre tour de piste puis je me dirigeai vers le premier obstacle du parcours. Un vertical d’environ 50 cm. Étoile le sauta facilement. Le prochain obstacle, un oxer d’environ 75 cm était assez près. Je devais vers un tournant assez serré. En sautant, Étoile accrocha la barre. Elle oscilla puis elle tomba par terre. Le prochain obstacle était on autre oxer identique au précédent. Étoile le sauta facilement vue qu’elle était bien placé. Elle sauta tous les autres obstacles avec facilité sauf le dernier, une barre de spa assez haute. Elle accrocha la barre supérieure avec ses postérieurs et celle-ci tomba par terre. Je revins au pas et je me dirigeai vers le coin de la carrière où il y avait un sceau d’eau pour faire boire Étoile. Je lui donnai des petites tapes sur l‘encolure et en même temps je lui dis :
« Bravo Étoile, tu as fait un beau parcours. »
Quand elle eut finit de boire, Je revins sur la piste au trot puis au galop. Je refis le parcours et cette fois-ci, je réussis un sans-faute. Je félicitai Étoile puis je démontai. Je remontai les étriers puis je retournai dans l’écurie. Je la dessellai puis je l’emmenai dans la douche pour lui doucher les pattes. Ensuite, je la remmenai dans son box où je la brossai. Quand j’eus finit de m’occuper d’elle, je sortis du box, j’allai ranger mes choses dans la sellerie puis je sortis dehors.
Vers huit heures ce matin, je me levai en vitesse et je m’habillai. Je n’étais pas allée voir Helia cette nuit car je voulais gardée mon énergie pour le concours qui s’en venait. Mais, je me promis d’y retourné une fois le concours passé. Je sortis dehors dans l’air frais matinal. C’était agréable de marcher dehors par un si beau temps.
J’entrai dans l’écurie quelques minutes plus tard. J’avais hâte de retourné voir Étoile. Je m’arrêtai devant son box.
« Allo Étoile, es-tu prête à t’entraîner? On a du pain sur la planche avec le concours qui s’en vient! »
Étoile me répondit par un hennissement. Je lui flattai le chanfrein puis j’entrai dans son box. Je pris le temps de défaire ses tresses car elles n’étaient plus vraiment belles. Étoile avait la crinière toute frisé. C’était joli! Je sortis de son box pour aller chercher sa selle et sa bride dans la sellerie. Je revins la voir. J’ouvris la porte du box, je l’attachai puis je lui mis sa selle. Ensuite, je lui mis sa bride et ses protections pour les jambes. Je mis mon casque puis je sortis dehors. Il n’y avait personne dans la carrière. Heureusement, car je préfère monter seule. Étoile partit au trot sans que je lui demande vers la carrière. Elle avait hâte de sauter! Je la ralentie puis j’entrai dans la carrière. Je resanglai puis je me mis en selle. Je commençai par faire un tour de piste au pas, puis quelques-uns au trot et au galop. Je commençai par sauté un petit croisillon qu’Étoile franchi comme si de rien était. Aujourd’hui, je voulais retravailler les foulées car ce n’était pas tout à fait au point et aussi les obstacles plus compliqué comme le spa et les murs. Je commençai par sauté une ligne qui comportait un vertical et un oxer. Je devais faire six foulées entre les deux. Étoile sautait les obstacles parfaitement mais elle faisait tout le temps sept foulées. Après trois essaies, je fis un tour de piste en essayant d’accélérer l’allure. Je revins sur la ligne et cette fois ci Étoile fit six foulées. Je répétai l’exercice plusieurs fois jusqu’à temps qu’elle fasse tout le temps six foulées entre les deux obstacles. Puis, j’essayai de sauté une ligne qui comportait un mur puis une barre de spa d’environ 125 cm. Le premier coup Étoile accrocha les deux barres. J’étais déçue, il y allait surement avoir ses obstacles là au concours et je n’étais pas capable de les sauter. Mais, il faut l’avouer, ce sont des obstacles difficiles. Je réessayai une deuxième fois. Étoile sauta trop tôt et ne mis attendant pas, je lâchai les reines et je tombai par terre. Étoile atterrit de l’autre côté du mur. Elle s’arrêta net, contourna le mur puis vint me voir. Je me relevai tant bien que mal. J’avais mal partout mais je ne pense pas que j’avais rien de cassé heureusement. Je remontai puis je fis quelques tours de pistes au pas, au trot et au galop pour me remettre de ma chute. Ensuite, j’allai sauter le petit croisillon que j’avais sauté au début. Je le sautai quelques fois puis je refis la ligne avec le vertical et l’oxer. Je la sautai elle aussi plusieurs fois puis, quand je me sentie alaise, je fis un tour de piste puis je me dirigeai vers la ligne avec le mur et la barre de spa. Je voyais le mur arriver de plus en plus vite. Trop vite. Je voulue arrêter mais j’étais rendue trop proche. C’était impossible. Étoile sauta. Je retins mon souffle. Étoile atterrit de l’autre côté sans encombre puis elle sauta la barre de spa qu’elle franchit aussi facilement que si c’était un simple vertical. J’étais d’elle et aussi de moi. Je n’avais jamais réussis a sauté une ligne comme celle-là. Je démontai puis je me montai un petit parcours avec des obstacles assez hauts. Le plus faisait environ 1,30m. Je fis un tour de piste au galop puis je me dirigeai vers le premier obstacle, un oxer d’une taille assez imposante. Étoile le franchit avec élégance puis elle franchi le deuxième, le troisième et le quatrième aussi facilement. Les deux dernier obstacle était e mur et le spa. Étoile les franchit aussi bien que les autres obstacles. Je revins au pas en félicitant Étoile.
« Bravo Étoile! Tu as fait du bon travail! »
J’allai dans le coin de la carrière où il y avait le sceau d’eau pour faire boire les chevaux. Je fis boire Étoile en la caressant. C’était vraiment une superbe ponette pour le saut! Quand elle eue finit de boire, je démontai puis je remontai es étrier. Je la remmenai dans son box puis je la dessellai. J’allai porter sa selle et sa bride dans la sellerie puis j’emmenai Étoile dans la douche pour la douché. Quand j’eus finit, je la remis dans son box et je lui donnai une carotte. Elle le méritait bien. Elle avait vraiment bien travaillé
J’arrivai dans le box d’Étoile vers deux heures dans l’après-midi. Je voulais la bichonner un peu. Elle le méritait bien après l’entraînement de ce matin! J’allai chercher ma mallette de pansage dans la sellerie puis j’allai voir Étoile. Elle avait l’air en forme mais un peu fatigué tout de même. Elle hennit en me voyant. Je pris l’étrille et je la brossai. Quand j’eus fini, je la brossai avec la brosse dure et la brosse douce puis je lui curai les pieds et je lui peignai la crinière et la queue. Je voulais rester avec elle toute l’après-midi et c’est ce que j’allais faire. Je m’assis sur un sceau retourné. Étoile vint me voir et elle se pencha la tête pour qu’elle soit à ma hauteur. Je lui pris à tête et je la caressai. Je restai dans cette position pendant un bon moment puis je me levai et j’allai chercher une carotte. Étoile adorait les carottes! Je lui remmenai et je lui donnai. Elle la dévora d’une seule bouchée. Elle renifla ma main et mon gilet pour essayer d’en trouver une autre mais je n’en avais pas d’autre.
« Tu vas devenir grosse Étoile si tu manges trop de carottes! »
Ça ne semblait pas déranger Étoile de devenir grosse. Tous ce qu’elle voulait elle, c’était des carottes.
« Si tu travailles bien demain, je vais t’en donner une autre. »
Je caressai l’encolure d’Étoile. Elle était chaude et douce. Je me collai contre elle. Elle déposa sa tête sur mon épaule. Je n’avais pas envie de la lâcher. Après quelques minutes je me reculai malgré moi. Je voulais avoir le temps d’aller voir Helia avant le souper. Je quittai son box à regret. Elle était presque, et j’insiste sur le presque, aussi formidable qu’Helia.
LE 11 MAI 2011
En arrivant dans l’écurie cet après-midi, je me dépêchai d’aller voir Étoile. Je n’étais même pas aller la voir hier car j’avais trop de devoirs et je n’avais pas eue le temps. Je m’étais ennuyé. J’ouvris la porte de son box et je lui fis un gros câlin. Je restai collé contre elle quelques minutes puis je ressortis du box pour aller chercher sa selle et sa bride. J’étais déçue de ne pas avoir pu m’entrainer hier car le concours approchait à grand pas et je n’étais pas encore prête. J’étais capable de sauté des obstacles difficiles mais quand ils sont dans un parcours, c’est beaucoup plus difficile et Je voulais vraiment gagner cette compétition. C’était mon occasion de prouver que j’avais du talent. J’entrai dans le box d’Étoile déterminé. C’était la meilleure ponette de saut que je n’avais jamais monté et avec elle, j’étais sûr d’avoir mes chances de gagner. La journée où j’étais arrivée, j’avais vu un gars prénommé Azrael s’entrainer sur son cheval Shooting star. Ils forment vraiment un bon couple et je crois qu’ils ont gagné la dernière compétition. Je vais compétitionner contre lui. Je pense qu’il est meilleur que moi mais il a six ans de plus que moi donc c’est normal! Je brossai Étoile rapidement puis je la sellai et je la bridai.
J’arrivai devant la carrière à l’arrière de l’écurie. Il y avait déjà un parcours de monté. C’était pas mal le genre de parcours que je m’imaginais pour le concours. Il y avait neuf sauts d’environ 75 à 90 cm. Il y avait plusieurs oxer et une barre de spa. J’allai m’entrainer sur ce parcours. Il comportait deux doubles. Je comptai le nombre de foulées entre les deux obstacles du premier double. Je devais faire deux foulées. Puis je comptai le deuxième, Une seule foulée. Je resanglai puis avant de me mettre en selle je dis :
« Es-tu prêtes Étoile? On va travailler fort aujourd’hui! »
Je me mis en selle puis je me mis sur la piste en main droite au pas. Quand je sentie qu’Étoile était réveillé, je serrai les talons pour partir au trot. Je fis quelque figure et des courbes pour bien la réchauffer puis je me mis au galop. Étoile avait un galop souple et fluide. Je revins au trot puis je passai sur des barres au sol installé au milieu de la carrière. Je me remis au galop puis je passai les barres au galop. C’était un peu plus difficile mais Étoile les passa sans en touché une. Je félicitai Étoile en lui donnant de petites tapes sur l’encolure puis j’allai sauter un petit croisillon d’une quinzaine de centimètres. Étoile le passai aisément. Je démontai puis je montai la barre du croisillon d’une quarantaine de centimètres pour avoir un obstacle de cinquante centimètres. Je remontai Étoile puis je fis un tour de piste au galop avant d’aller sauter le croisillon qu’Étoile passa aussi facilement que l’autre d’avant. Tout semblait si facile avec elle! Je fis un autre tour de piste au galop puis je me dirigeai vers le premier obstacle du parcours, un oxer d’environ quatre-vingt centimètres. Étoile le sautai facilement. Je contournai un vertical puis j’allai sauter le deuxième obstacle, un vertical d’environ quatre-vingt-dix centimètres. C’était le premier obstacle du premier double. C’était un des obstacles le plus haut du parcours. J’arrivai croche devant mais Étoile sauta quand même et elle accrocha la barre supérieure avec ses postérieurs. Elle fit deux foulées puis elle sauta le deuxième vertical. Celui-ci, elle le sauta parfaitement sans accrocher de barres. Étoile sauta le troisième obstacle, un oxer d’environ soixante-quinze centimètres facilement. Elle sauta le quatrième, un mur de quatre-vingt-cinq centimètres et le cinquième, un vertical de un mètre tout aussi facilement. Je la dirigeai vers le sixième obstacle. C’était le deuxième double, il comportait deux oxer de quatre-vingt-dix centimètres. J’arrivai devant le premier un peu croche mais Étoile se replaça et elle le sauta parfaitement. Elle fit une foulée puis s’élança pour sauter le deuxième. Elle le sauta tout aussi facilement que le premier. Il restait trois obstacles. Le prochain était une barre de spa de soixante-quinze centimètres de haut. Étoile se propulsa avec élégance et atterrît de l’autre côté aisément. Étoile passa les deux dernier, un vertical de quatre-vingt-dix centimètres et un oxer de quatre-vingt-cinq centimètre, facilement. Je revins au trot puis au pas. Je caressai Étoile pour la féliciter. Je n’avais fait qu’une seule erreur mais si je voulais gagner le concours je ne devais pas en faire aucune. Je me dirigeai vers le coin de la carrière où se trouvait un sceau d’eau, pour faire boire Étoile. Quand elle eue finit de boire, je me remis sur la piste puis je la repartis au galop en disant :
« Allez ma belle, on recommence! »
Cette fois-ci, Étoile sauta tous les obstacles facilement sans faire de fautes. Il m’en faut beaucoup pour être satisfaite mais à je l’étais. Étoile avait vraiment bien travaillé aujourd’hui. Je démontai puis je remontai les étriers et je la remmenai à l’écurie. Je la dessellai puis je l’emmenai dans la douche pour lui doucher les pattes. Ensuite je la brossai et je lui donnai une carotte, elle le méritait bien! Puis je lui donnai un baiser sur le front avant de sortir de l’écurie.
Ce soir juste après le souper, je me dépêchai d’aller à l’écurie pour aller voir Étoile. Ça faisait à peine trois heures que je l’avais vue et je m’ennuyais déjà. Je voulais m’occuper d’elle pour qu’elle reprenne des forces après l’entrainement de cet après-midi. J’arrivai vis-à-vis son box. Elle me salua avec un hennissement comme à l’habitude. Elle avait l’air vraiment fatigué. Je lui caressai les naseaux. Je m’éloignai et j’allai chercher de l‘huile de Onagre dans la sellerie. C’était un remède efficace contre la sellerie. Je revins voir Étoile et j’en mis quelques gouttes dans son eau. J’allai reporter le flacon dans la sellerie et en même temps je pris ma mallette de pansage. Je retournai au box d’Étoile. J’ouvris la porte du box en disant :
« Allo Étoile, tu as l’air fatiguer ma belle. »
Je pris l’étrille et je commençai à la brosser. Étoile adoré qu’on la brosse. Elle semblait récupérer de l’énergie à chaque mouvement que je faisais. Quand j’eus fini avec l’étrille, je pris la brosse dure. Je la brossai longtemps pour être sûr qu’elle soit bien propre à la fin. Je la brossai avec énergie puis quand j’eus fini, je pris la brosse douce. Je la passai énergiquement elle aussi et Étoile semblait récupérer de plus en plus d’énergie. Elle avait l’air beaucoup moins fatiguer qu’à mon arriver. Je lui curai les pieds en vérifiant s’il n’y avait pas un caillou de pris entre son fer et son sabot. Soudain, elle fit un écart et elle commença à piaffer. Je regardai par terre et je vis une souris. Elle avait surement eu peur d’elle.
« Tout doux Étoile, tout va bien, ce n’ai qu’une souris. »
Je lui massai le dos en faisant de petit mouvement circulaire pour la détendre. Ça semblait la calmer et peu à peu elle redevint calme. Je lui fis un gros câlin, je l’aimais tellement Étoile! Je lui dis avant de sortir de son box :
« Au revoir Étoile! À demain! »
Par Nemoo
Par jajalaf
Par Nemoo
Par FancyRosie
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