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Par jajalaf

jajalaf

Rose et Hélia, une histoire d'amour!


Voici une histoire que j'ai écrite, laisser vos commentaires!

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J'avais été accepté à la prestigieuse écurie de compétition de Golden Horse.J'étais arrivé hier dans la soirée. On m'avais attribué un cheval en demi-pension, Étoile. Ce matin, je voulais explorer les lieux. Je ne connaissais pas très bien l’écurie et je voulais pouvoir m’y retrouver facilement. Cet après-midi, j’avais mon premier cours donc je voulais prendre mon avant-midi pour explorer. J’entrai dans l’écurie vers huit heures. Je saluai Étoile en lui donnant un baiser sur le front et en la caressant. Au bout de l’aller se trouvait la sellerie. Elle était assez grande et chaque cavalier avait un casier où il pouvait mettre sa selle, sa bride et toutes ses autres affaires. J’avais moi-même mon propre casier où j’avais ma selle, ma bride, mes protège boulets et tous les autres protections pour le cheval, mes protections de transport, un licou et une longe. Bref, tout ce dont j’avais besoin. Il y avait aussi les selles de l’écurie pour ceux qui n’en avaient pas. Sur les murs, il y avait des affiches avec des cavaliers célèbres de Golden Horse. Je sortis de la sellerie puis je me dirigeai vers une porte assez grande dans le milieu de l’allée. Je l’ouvris et je me rendis compte que c’était le manège intérieur. Il y avait quelqu’un qui s’entraînait. Je refermai la porte doucement pour ne pas affoler le cheval. Je retournai dans l’allée puis je me rendis compte qu’il y en avait une deuxième. Il y avait six chevaux dans cette allée. Je vis une affiche écrite à vendre. C’était forcément les chevaux à vendre. Je marchai le long de l’aller puis je m’arrêtai devant une grande jument noire. Elle était magnifique. Elle avait une allure splendide! Je tendis ma main pour la flatter, mais elle essaya de me morde. Ça ne m’empêcha pas de penser que c’était la plus belle jument que je n’avais jamais vue! Je lui parlai doucement pour la rassurer. Elle semblait tendue. Je continuai à murmurer des mots doucement et peu à peu elle sembla se détendre. Quand elle sembla calmée, je réessayai de la flatter. J’avançai mes mains tranquillement et je lui fis sentir. Puis, je réussis à lui flatter le chanfrein. Elle semblait m’avoir accepté. Sans réfléchir, j’allai chercher ma boite de brosse dans la sellerie et je revins la voir. J’ouvris tranquillement la porte de son box. Je l’attachai puis je commençai à la brosser avec l’étrille. Elle était plus tendue qu’Étoile. Je lui fis des massages que j’avais appris pour détendre les chevaux. Ça semblant fonctionnement et elle se calma. En allant prendre la brosse dure, je me rendis compte que je ne savais même pas son nom. Je regardai sur la porte de son box, il était écrit : « Helia du Plessis, jument, 5ans, selle français, 176 cm. *Helia, quel beau nom,* pensais-je. J’avais toujours rêvé d’avoir un cheval et cette Helia était la jument parfaite. Malheureusement, je n’étais pas autorisé à avoir un cheval. De toute façon, je n’avais pas l’argent! Je pris la brosse dure dans ma boite de brosse et je rentrai dans le box d’Helia. Je finis dans la brossée. J’avais trouvé sa robe noire magnifique, mais brossée, elle est tout simplement splendide! Je quittai son box à regret. J’aurais tellement voulu la montée, mais malheureusement ça m’était impossible.

...

Bip Bip Bip! C’était mon réveille-matin qui sonnait. Il était minuit. Je l’avais programmé à cette heure-là, car je planifier de monté Helia en cachette cette nuit! Je me levai sans faire de bruit. J’enfilai ma culotte d’équitation et un polo rouge. Je ramassai mon casque puis je sortis de ma chambre sans faire de bruit.

J’arrivai devant l’écurie quelques minutes plus tard. J’ouvris tranquillement la porte pour vérifier s’il y avait quelqu’un. Il n’y avait personne. J’ouvris la porte assez grande pour que je puisse entrer puis je la refermai derrière moi. J’allai chercher ma selle et ma bride dans la sellerie. C’était une bride neuve que j’avais achetée pour Étoile, mais elle en avait déjà une donc je ne m’en étais jamais servie. Je ne planifiais pas de brosser Helia, car je voulais avoir le maximum de temps pour la montée. De toute façon, je l’avais déjà brossé ce matin. Je voulais aussi travailler uniquement sur le plat, car j’en savais déjà assez sur Helia pour savoir qu’elle n’était très facile à monter, moins qu’Étoile en tout cas. En arrivant à la porte de son box, je déposai ma selle et ma bride puis je rassurai Helia en lui parlant doucement. Je lui laissai me sentir puis je lui caressai les naseaux. Elle semblait apprécier que je la caresse, mais elle semblait tendue tout de même. J’ouvris doucement la porte de son box, je pris son licou et quand j’essayai de lui mettre, elle essaya de me morde. Je réessayai en bougeant plus tranquillement et en lui disant des paroles rassurantes. Je réussis à lui mettre cette fois-ci. Je lui massai un peu le dos avant de lui mettre la selle. Je pris celle-ci par terre puis je la déposai tranquillement sur son dos. Dès qu’elle toucha à la jument, celle-ci rua et botta le mur de son box avec ses postérieurs. Je fis un saut et sortis du box en un bond. Je ne me décourageai pas pour autant. Je commençai par faire sentir la selle à Helia qui semblait extrêmement méfiante. En même temps, je lui disais des paroles rassurantes. Je la sentis se calmer un peu. Je rentrai dans son box doucement puis lui flattai doucement le dos où on met la selle. Puis, je pris la selle et je flattai le dos d’Helia avec. Quand elle sembla calme, je déposai la selle très tranquillement. Elle s’agita, mais ne se rua pas comme la dernière fois. J’attachai la sangle en serrant tranquillement pour ne pas l’énerver. Je lui fis sentir la bride puis je la détachai et je lui mis. Elle mordit dans le mort si fort qu’elle aurait pu se casser une dent. Heureusement, ça n’arriva pas. Avant de sortir du box, je regardai ma montre, il était déjà une heure trente. Je devais revenir à l’écurie vers quatre heures pour être sûr de ne pas me faire prendre. Je voulais aller dans le manège intérieur vu qu’il faisait froid la nuit dehors et qu’on ne voyait rien.

En arrivant à la porte du manège, je l’ouvris doucement puis j’allumai les lumières. J’entrai à l’intérieur. Helia me suivait sans broncher. Juste avant de me mettre en selle, je lui dis :

'OK ma belle, tu es prête?'

Je me mis en selle en utilisant un montoir. Helia était extrêmement agité. Je serai les talons pour la faire marcher, mais elle recula quelques pas puis s’arrêta. Je réessayai, mais elle fit de même.

‘Allez Helia marche! ’

Je l’encourageai à marcher, mais elle ne voulait toujours pas avancer. Je démontai puis je lui fis faire un tour de piste un la guida avec les reines. Ensuite, je la remontai puis je ressayai. Je serrai mes talons et en même temps je lui dis :

‘Au pas Helia! ‘

Elle recula de quelques pas puis elle avança. Je fis quelques tours de pistes au pas. Elle semblait se calmer petit à petit. Après une dizaine de tours, je décidai d’essayer d’aller au trot. Je serrai, les talons en disant :

‘Au trot Helia! ’

Elle fit quelques sauts de mouton puis elle partit au grand galop. J’essayai de l’arrêter, mais rien à faire, elle galopait dans le manège, dans tous les sens affolés. J’essayai du mieux que je pouvais à rester en selle. Après cinq minutes, elle s’arrêta brusquement. Je faillis tomber, mais heureusement, je restai en selle. Je la rassurai en la caressant et en lui murmurant des paroles apaisantes. Quand elle fut calmée, je la repartis au pas. Cette fois-ci elle partit sans broncher. Je fis une dizaine de tours et, prenant mon courage à deux mains, je serrai les talons pour la faire partir au trot. Tout en faisant cela, je lui disais d’une voix apaisante.

'Allez ma belle, au trot. Tu es capable! ’

Elle refit des sauts de mouton. Je retins mon souffle pendant quelques secondes, craignant qu’elle reparte au galop, mais, à mon grand soulagement, elle partit au trot. Elle avait un trot mal rythmé, mais après quelques tours elle se replaça et elle était très confortable. J’essayai de faire du trot assis et je réussis sans problème. Je lui fis faire des voltes et du slalom. Au début, elle était très agitée dans le virage, mais elle était plus calme au bout de quelques minutes. Je fis du trot pendant plus d’une demi-heure puis j’essayai partir au galop, mais dès que je lui en donnai l’indication, elle se cabra et malgré ma bonne assiette, je tombai par terre. Helia partit au galop et fit quelques tours en liberté, mais elle s’arrêta et elle vint me voir. Elle se pencha pour être à ma hauteur et je lui flattai les naseaux. On aurait dit qu’elle venait s’excuser. J’essayai de me relever. Je n’avais rien de cassé heureusement. Je remontai en selle. Helia semblait beaucoup moins tendue. Je la fis partir au pas. Je fis quelques tours puis je partis au trot. Elle partit sans broncher. Je refis quelques exercices au trot, mais moins longtemps que la dernière fois puis je ressayai de partir au galop. Helia écouta sans broncher. Je ne m’attends pas à ça! Je fis quelques tours et des voltes au galop puis je m’arrêtai. Je démontai et j’installai une série de quatre pôles avec une distance d’une foulée entre chacun d’eux. Je remontai Helia puis je fis un tour au pas, un au trot et un au galop puis je me dirigeai vers les barres. Elle s’arrêta net devant la première barre et recula les oreilles en arrière. Je décidai alors de démonter. Je pris les rênes et je passai par-dessus la première barre. Helia me suivit, mais elle avait l‘air extrêmement méfiante. Je passai par-dessus la deuxième puis la troisième et la quatrième. Je refis cela plusieurs fois puis je remontai en selle. Je commençai par passer les barres au pas. Helia le fit sans problème. Je le refis deux ou trois fois puis je l‘essayai au trot. Elle les passa aussi sans problème. Je l‘essayai au galop, mais juste avant de passer la première barre, Helia revint au trot et elle les passa au trot. Je ressayai une autre fois en l’encourageant à rester au galop. Cette fois-ci je réussis. Je m’arrêtai et je regardai ma montre, quatre heures. Ça faisait déjà deux heures que je montais. Je devais rentrer si je ne voulais pas me faire prendre. Je démontai, je remontai les étriers puis je sortis du manège en fermant les lumières. Je remmenai Helia dans son box. Je la dessellai puis j’allai porter ma selle et ma bride dans la sellerie. Je n’avais pas le temps de la brosser, mais je me promis de revenir le faire le lendemain matin.

Par Nemoo

Nemoo
C'est loooong avant que la suite arrive